- 316 pages - moyen
- Editeur : Presses de la Cité (31 mars 2011)
- En 1925, le voyage de noces en Inde de Matthias d'Assenbourg, diplomate français, tourne au cauchemar lorsque son épouse, Amy Colton, disparaît. Une mère trop tôt décédée, un beau-père laissé pour mort dans un accident de train, un savant hindou qui en sait trop, des textes de propagande antisémite, un inspecteur de police britannique... L'étau se resserre autour de Matthias, accusé de meurtre, traqué par des fanatiques et devenu hors-la-loi. Pour retrouver celle qu'il aime, Matthias se lance dans une course folle contre la montre qui le conduira jusqu'à la mystérieuse ville rose de Jaipur, où des " anges " lui révéleront une vérité inattendue... Un roman d'aventures et de suspense dans l'Inde des mythes et des légendes, qui offre un éclairage passionnant sur les prémices du mysticisme nazi.
- lecture d'avril 2014
- moyen - première fois que je lis cet auteur... plus roman d'aventure dans le genre Indiana Jones que polar, à la recherche d'un svastika mystérieux ayant appartenu au premier Lama. Les deux héros ne sont pas les seuls sur la piste... en 1925 déjà, les dévuts du nazisme commence a se faire sentir, et un archéologue nazi est également sur la piste.
- Un roman qui se laisse lire, plutôt agréable d'ailleurs, mais qui ne me laissera sans doute pas beaucoup de souvenirs. Bref, à lire par une journée de paresse durant ses vacances.
- biographie de Éric Le Nabour
- Charles X : le dernier roi (avec une préface d'Alain Decaux). éditions Jean-Claude Lattès, Paris, 1980. 405 p.
- Barras : le vicomte rouge. Jean-Claude Lattès, Paris, 1981. 335 p.
- Le Régent : libéral et libertin. Jean-Claude Lattès, Paris, 1984. 338 p. .
- La Reynie : le policier de Louis XIV. Perrin, collection « Présence de l'histoire », Paris, 1990. 276 p.
- Nicolas Simonnet, Le Mont-Saint-Michel et la baie. Hachette, collection « Guides bleus », Paris, 1991. 64 p.
- Les Meilleures Aventurières. Criterion, collection « L'histoire en tête. Les meilleurs », Paris, 1991. 264 p. + 8 p. d'illustrations.
- La Veuve rouge. Fleuve noir, collection « Les drames de l'histoire » no 1, Paris, 1992. 187 p.
- Les Deux Restaurations. Tallandier, collection « Pour comprendre », Paris, 1992. 245 p.
- Alexandra David-Néel. Jean-Claude Lattès, collection « Ushuaia présente » no 4, Paris, 1992. 221 p. + 8 p. d'illustrations.
- Bretagne : lieux sacrés et initiatiques. Dervy, collection « Chemins de l'harmonie », Paris, 1993. 127 p.
- Itinéraires cathares : histoire, religion, lieux sacrés et initiatiques (avec des photographies de). Dervy, collection « Chemins de l'harmonie », Paris, 1994. 152 p. + 12 p. d'illustrations.
- Un Indien dans la ville. TF1 éditions, collection « TF1 Novellisat », Boulogne-Billancourt, 1994. 214 p.
- Le Chasseur d'âmes : roman. Presses de la Renaissance, Paris, 1998. 270 p.
- Le Nagual. Ramsay, Paris, 1998. 326 p.
- La Porteuse d'ombre : madame de Maintenon et le Roi-Soleil. Tallandier, collection « Raconter l'histoire », Paris, 1999. 329 p.
- La Prophétie d'Ascalon. Presses de la Renaissance, Paris, 2003. 296 p.
- Letizia Bonaparte : la mère exemplaire de Napoléon Ier. Pygmalion, Paris, 2003. 247 p.
- Orages sur Calcutta : roman. Presses de la Cité, collection « Sud lointain », Paris, 2005. 410 p.
- Les Rois maudits : l'enquête historique (avec une préface de Colette Beaune). Perrin, Paris, 2005. 296 p.
- Les Démons de Shangai: roman. Presses de la Cité, collection « Sud Lointain », Paris, 2006.
- Kaamelott, Tome I : Au cœur du Moyen Âge, Perrin, Paris, 2007. 214 p.
- Les Jardins d'Istanbul: roman. Presses de la Cité, collection « Sud Lointain », Paris, 07/2007.
- Kaamelott, Tome II : À la table du Roi Arthur, Perrin, Paris, 2007.
- Le Christianisme, une aventure de 2000 ans, Éditions Trajectoires, Paris, 2008.
- Les ombres de Kervadec, Presses de la Cité, collection « Terres de France », J.Balland, Paris, Mars 2008.
- Retour à Tinténiac, Paris, Calmann-Lévy, collection « Romans de France », juin 2010.
- La Dame de Kyoto, Paris, Calmann-Lévy, 2012.
- A l'ombre de nos larmes, Paris, Calmann-Levy, 2013.
un peu d'histoire...
Le svastika ou swastika 卐, mot sanskrit dérivé de su (« bien») et de asti (« il est »), avec la variante orthographique sauvastika parfois attribuée à son symétrique sinistrogyre 卍, est un symbole que l'on retrouve en Eurasie, en Afrique, en Océanie, aux Amériques (Amérique précolombienne chez lesMayas et amérindiens Navajos et kunas) et en Extrême-Orient. Il apparaît à l'époque néolithique pour la première fois dans la préécriture de la culture de Vinča. On peut le décrire comme une croix composée de quatre potences prenant la forme d'un gamma grec en capitale (Γ), d'où le nom de croix gamméequi lui est parfois donné depuis son apparition dans l'art chrétien primitif et l'art romain d'Orient primitif.
Ce symbole est surtout utilisé en Asie dans la symbolique jaïne, hindoue et bouddhique, en Chine pour symboliser l'éternité et dans l'Asie bouddhiste. EnOccident, le svastika pointant vers la droite, et généralement incliné de 45 degrés, a été adopté comme emblème par les nazis et a par conséquent acquis après la Seconde Guerre mondiale une forte connotation négative. Certaines factions politiques minoritaires et extrémistes l'utilisent pour se rattacher directement à cette idéologie (voir Croix gammée nazie).
En Asie, et tout particulièrement en Inde, c'est toujours un symbole omniprésent. Il symbolise, parmi d'autres sens, le dieu Ganesh qui est fort populaire. D'autre part, il est le symbolepremier du jaïnisme, considéré par ses adeptes comme le plus favorable de tous les symboles. - wikipédia,
Inde +
Une histoire lue et relue.
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